INTRODUCTION

30.9.07

Blague de Kim

Ce matin, Maman vient de gronder Kim (5 ans). Ce petit comique vient me voir et me dit :
"Papa, Maman m'a crier"
en cherchant un éventuel allié.

Et là, je lui répond :
" Et bien oui, écoutes Maman"
pour lui faire comprendre que je ne rentre pas dans son jeu.

A ce moment Kim va voir Maman et lui dit :
"Ecoutes !! ..., Maman"
histoire d'avoir le dernier mot.

24.9.07

Maillot "jaune"

Le jeu de mots est trop facile, mais il est bien de circonstance.

Extrait des NOUVELLES-CALEDONIENNES :

Tour de Calédonie : Wang au sommet

Premier Taiwanais à venir disputer le Tour de Calédonie, Yinchih Wang n’a pas effectué le long voyage pour rien puisqu’il a inscrit son nom au palmarès de la Grande Boucle calédonienne, devenant le premier lauréat asiatique et le 35e successeur du Néo-Zélandais, vainqueur de la première édition en 1967.






Un vainqueur juvénile

Jamais depuis Yaroslav Popovich, le Tour de Calédonie n’avait connu un vainqueur aussi juvénile. Alors qu’il n’a pas encore 19 ans, Yinchih Wang a inscrit son nom au palmarès de la Grande Boucle calédonienne. Pour sa première participation. Un exploit.

Surtout qu’au départ, donné le jeudi 13 septembre au Mont-Dore, personne ne connaissait le frêle asiatique, Taiwanais perdu au milieu d’une équipe japonaise, au nom imprononçable mais qu’on allait très vite apprendre à connaître. Dès les premières étapes, on a vu Wang et ses coéquipiers se montrer, un peu trop pour certains qui n’ont pas hésité à les rappeler à l’ordre.

Mais Wang n’en avait cure. Personne n’a pu l’empêcher de se mettre en évidence dans la montée de l’Etoile du Nord, et sa prise du pouvoir coïncidait avec l’enterrement de première classe des espoirs de victoire des favoris qui se sont détruits eux-mêmes par leur marquage stérile. Les plus sceptiques attendaient de voir le Taiwanais confirmer lors des étapes suivantes pour êtres définitivement convaincus de ses possibilités de gagner un Tour aussi exigeant que celui de Calédonie. Certainement l’un des plus durs, si ce n’est le plus dur, des Tours réservés aux amateurs. Et ils n’ont pas attendu longtemps pour être convaincus. Le Taiwanais faisait jeu égal avec la concurrence dans le Nord et parachevait son œuvre en assommant définitivement la concurrence dans la mine Montagnat de Tontouta. Gagner les deux grandes étapes se terminant au sommet d’une mine n’est pas donné à tout le monde. Rares ont été ceux qui y sont parvenus dans l’histoire du Tour de Calédonie. Premier Asiatique à avoir inscrit son nom au palmarès de la course, Yinchih Wang est entré dans la cour des grands par la grande porte. Même si le cyclisme n’est pas très populaire en Asie, on lui souhaite de faire carrière dans un sport dont il aimerait bien faire son métier. Pour y parvenir, l’exil en Europe est nécessaire, obligatoire même. Et là-bas un autre challenge l’attend.

« C’est un coureur discret, comme le sont tous les Asiatiques. Il n’a jamais rechigné au travail et ne s’est jamais plaint. Il mérite sa victoire. J’espère qu’on entendra encore parler de lui dans le futur. » L’appréciation est de Jérôme Bonnace qui avait prédit très tôt la victoire finale de Wang. En grand connaisseur du vélo…

Textes et photos : Pierre Guillot

23.9.07

Rencontre avec Trần Phương Thảo

Trần Phương Thảo, c’est la réalisatrice de « Giấc mơ là công nhân (Rèves d’ouvrière )»

Elle est venue présenter son film à l’occasion du Festival international du cinéma des peuples
« Anûû-rû âboro » à Poindimié.

4 heures de route nous séparent de ce festival. Mais qu’est ce par rapport aux efforts des organisateurs et des réalisateurs. En tous cas, je ne regrette pas ce petit trip d’une journée effectué sous la houlette de l'AVNC.



Je précise quand même : Phương Thảo porte le t-shirt noir.

(A notre arrivée, nous avons pu aussi voir le film qui passait avant : Les femmes du Mont Ararat (Erwann Briand) )

(Enfin tout ça pour dire que j'aurai bien voulu voir tous les autres films)

20.9.07

Premières rencontres des créateurs musicaux d’Océanie et d’Asie du Sud-Est.

Au vu du titre des affiches qui circulent en ce moment, je me suis dit : tiens ! une rencontre musicale asie-pacifique, en voilà une bonne idée.
Mais en détaillant le contenu, on peut se demander que vient faire le Sud Est Asiatique ? Peut être à cause de la Papouasie ? Parceque Haiti et Madagascar...

LES NOUVELLES-CALEDONIENNES Jeudi 20 Septembre 2007

Le gouvernement, la Sacenc et l’association Musique France plus ont réuni leurs compétences pour créer les premières rencontres des créateurs musicaux d’Océanie et d’Asie du Sud-Est. Durant trois jours, les concerts vont se succéder au centre Tjibaou.

Les grands noms du kaneka réunis sur une seule scène : pour les Calédoniens, c’est l’occasion de savourer la musique locale. Pour les artistes en revanche, c’est bien plus qu’un simple concert. Ces premières rencontres des créateurs musicaux d’Océanie et d’Asie du Sud-Est ont pour objectif de promouvoir leur musique à l’étranger.

Des concerts et des tables rondes

En plus des 6 000 spectateurs attendus, les organisateurs comptent sur la présence de nombreux professionnels de la musique. « Des Australiens, Fidjiens, Vanuatais… Il y aura même le directeur d’une des plus grosses radios de Papouasie-Nouvelle-Guinée », confie Isabelle Derrien, déléguée générale de la Sacenc (société des auteurs, compositeurs et éditeurs de Nouvelle-Calédonie), coorganisatrice de l’événement. Durant ces trois jours, ils espèrent également mettre en lumière les initiatives existantes et structurer le marché du disque calédonien. En marge des concerts, des tables rondes seront donc organisées à la CCI afin d’aborder ces différents points. Jacques Blache, directeur de l’Association Musique France plus et coorganisateur, n’en est pas à son premier essai. « Nous avons déjà mis en place ces manifestations aux Caraïbes et l’an dernier dans l’océan Indien. ». La Calédonie est la première à lancer l’événement dans la région Pacifique. Pour l’instant, la deuxième édition n’est pas prévue.

• Programme

Vendredi 21 septembre

A partir de 19 heures
1re partie : Bethela, Nepishöö, Nodeak
2e partie : T-Vice (de Haïti)

Samedi 22 septembre

A partir de 19 heures
1re partie : Kalaga’la, Edou, Lueni
2e partie : Jaojoby (de Madagascar)

Dimanche 23 septembre

A partir de 20 heures
1re partie : Virhin, Nememguy
2e partie : T-Vice (de Haïti)

A l’espace Kami Yo du centre culturel Tjibaou

14.9.07

Extraits du quotidien

"Feu nos pères", suite

Poindimié
Retrouvailles à la maison commune de Nevaho
Jean-Pierre Zenkoro a reçu, jeudi, à la maison commune de Nevaho, quinze Okinawaiens qui étaient sur les traces de leur famille. Jean-Pierre a ainsi retrouvé avec plaisir la demi-sœur de son père.
Afin d’améliorer ce type d’échange, l’association Okinawa Nouvelle-Calédonie a été créée en 2006 par Takeshi Miki. Son but est la recherche familiale à travers rencontres et visites.Les membres de cette délégation japonaise ont été reçus durant deux jours sur la côte Est. À Tchamba, jeudi, ils ont rencontré Rose-Mary Take, Roberta et Léon Devillers respectivement présidente et membres de l’amicale, ainsi que Marie-José Michel, consulE honoraire du Japon. Le midi, un grand repas, accompagné de chants et de danses traditionnelles d’Okinawales, les attendait à la maison commune de Névaho. Le lendemain Jean-Pierre Zenkoro leur a fait visiter son exploitation agricole. Puis, en fin de matinée, la délégation s’est rendue à l’usine de café de Ponérihouen, à fait un détour par la mairie pour présenter ses civilités au maire, André Gopéa, avant de rejoindre Nouméa.

Quarante membres de l’association, dont Jean-Pierre Zenkoro, partiront en novembre à Okinawa, l’île de son grand-père, à l’occasion de l’exposition « Les émigrants japonais en Nouvelle-Calédonie » qui se tiendra à Naha, à partir du 12 novembre 2007.

Une expo pour lancer les échanges
Au début du XXe siècle, environ neuf cents Okinawaiens ont traversé l’océan pour venir travailler dans les mines de nickel de Nouvelle-Calédonie. Certains sont revenus à Okinawa à la fin de leur contrat, d’autres se sont installés sur cette terre d’accueil. En décembre 1942, avec la guerre du Pacifique, les Okinawaiens restés en Nouvelle-Calédonie ont été internés en Australie en tant que ressortissants d’un pays hostile, laissant sur place épouses et familles. À la fin de la guerre, interdiction leur a été faite de retourner auprès des leurs. Tout au contraire, ils furent renvoyés de force au Japon.Soixante ans après, alors que quelques-uns ont pu renouer avec leurs familles calédoniennes, beaucoup n’ont pas eu cette chance. En août 2006 pourtant, suite à l’exposition « Feu nos pères », organisée à Nouméa par Mutsumi Tsuda, plusieurs articles sont parus dans le journal local, le Ryukyu Shimpo. Et, en octobre 2006, à l’occasion du quatrième Festival Mondial Uchinanchu, quatre membres d’une même famille calédonienne ont fait le déplacement à Okinawa. C’est ainsi qu’a pris corps le début des échanges entre habitants des deux îles.


Calligraphie et diplomatie chinoises.

Jeudi du centre-ville

Le soleil se lève à l’Est
La place de la Marne a échappé à la mousson hier soir, et c’est tant mieux. Nombre de communautés asiatiques ont répondu à l’appel du Jeudi, et c’est une débauche de couleurs et de parfums qui a envahi les stands durant quelques heures.L’un des stands a attiré bien du monde.

Chloé, du bout de son pinceau trace avec dextérité des idéogrammes. « Et le coup de poignet n’est pas évident », s’exclame Éric Fongue, qui s’essaie à cet art. La jeune femme ne se contente pas d’être experte en calligraphie. Elle donne également des cours de mandarin à une quinzaine de personnes. « L’association de la Communauté chinoise de Nouvelle-Calédonie a bien d’autres projets, explique Éric. Nous aimerions donner des cours de danse traditionnelle aux enfants, afin de perpétuer nos traditions. » Dans le même esprit, quelques-uns des ressortissants chinois du pays font le voyage en chine. « J’ai retrouvé de la famille que je ne connaissais pas. Un sacré voyage initiatique ! »

Visite officielle.
L’ambassadeur de Chine en France pour deux jours en Nouvelle-Calédonie
L’ambassadeur de Chine en France, Son Excellence Jinjun Zhao, fera une courte escale de deux jours en Nouvelle-Calédonie en début de semaine prochaine.
La première journée de l’ambassadeur sera très protocolaire. Jinjun Zhao rencontrera en effet lundi le représentant de l’État, Michel Mathieu, le député et président du Congrès, Pierre Frogier, le maire de Nouméa, Jean Lèques, le membre du gouvernement chargé du budget et des finances, Pascal Vittori, ainsi qu’une délégation de la province Sud. Il visitera ensuite le tout nouvel Aquarium des lagons et le centre culturel Tjibaou.
Mardi, l’ambassadeur visitera l’usine SLN de Doniambo, puis se rendra à l’île des Pins en hélicoptère en survolant au passage le site de Goro Nickel.
Après une courte halte au Méridien d’Oro, une cérémonie coutumière et une visite de l’île des Pins, il reviendra au Méridien de Nouméa pour une rencontre avec une délégation de la communauté chinoise de Calédonie. Il quittera Nouméa mercredi matin pour Auckland.
Âgé de 62 ans, originaire de la province du Shandong, Jinjun Zhao est diplômé de l’université des langues étrangères de Beijing (Pékin). Sa carrière diplomatique s’est partagée entre le département Europe de l’Ouest du ministère des Affaires étrangères et différents postes à l’ambassade de Chine en France où il a passé au total près d’une quinzaine d’années. Il a également occupé pendant deux ans les fonctions de ministre assistant des Affaires étrangères.

LES NOUVELLES-CALEDONIENNES du 14/05/2007

9.9.07

Dernières nouvelles diplomatiques

Mister président, tu vas louper l'occasion de rencontrer le millième le plus ancien de la communauté VK ^_^.

Nguyên Minh Triêt est arrivé à Sydney pour l’APEC-15
Le président de la République, Nguyên Minh Triêt, est arrivé le soir à Sydney afin de participer au 15e Sommet du Forum de coopération économique d'Asie-Pacifique, à l'invitation du Premier ministre australien John Howard.


Nguyên Minh Triêt, accompagné de son épouse et d'une délégation de hauts officiels de l'État vietnamien, a été accueilli à l'aéroport international de Sydney par le représentant du gouvernement australien, l'ambassadeur vietnamien en Australie, Nguyên Thanh Tân, des représentants du consulat général vietnamien et des Viêt kiêu installés à Sydney.

Selon l'agenda, Nguyên Minh Triêt aura aujourd'hui des rencontres bilatérales avec le Premier ministre canadien Stenphen Harper, la présidente chilienne Michelle Bachelet Jeria, le président sud-coréen Roj Moo-hyun, et fera une intervention au forum d'affaires Vietnam-Australie. Il prendra part aussi à la rencontre entre les dirigeants de l'ASEAN et le président des États-Unis, George Bush. Enfin, il recevra les chefs d'entreprises australiennes et internationales.

Vuong Linh/CVN
(07/09/2007)


- Et un consulat ici ?
- Pour 1/1000ème de VK ? Tu crois au père Noel ?

Les ambassadeurs vietnamiens doivent attacher de l'importance aux Viêt kiêu


Le secrétaire général du PC vietnamien (PCV), Nông Duc Manh, a rencontré le 05 septembre à Hanoi les ambassadeurs vietnamiens nouvellement nommés.


Le chef du Parti a recommandé aux ambassadeurs qui vont partir pour leurs nouvelles tâches à l'étranger, de mener à bien leur mission diplomatique dans tous les domaines, qu'il s'agisse de politique, d'économie ou de culture.

D'après Nông Duc Manh, les ambassadeurs doivent connaître avec précision la situation du pays et prendre conscience de la politique du Parti et de l'État qui prône l'indépendance, l'autonomie et l'esprit d'initiative dans les relations extérieures et le processus d'intégration internationale.

À cette occasion, les diplomates sont aussi tenus d'attacher une importance particulière aux Viêt kiêu et à la protection des droits légitimes des travailleurs et citoyens vietnamiens à l'étranger, afin de mettre en œuvre la stratégie du Parti et de l'État, qui consiste à mobiliser toutes les forces du peuple pour l'œuvre d'édification et de défense nationale.

Hoàng Hoa/CVN
(06/09/2007)