L'un est artiste reconnu, l'autre est simple amateur, ce qui donne deux présentations différentes .
23.2.07
Tontons chanteurs
L'un est artiste reconnu, l'autre est simple amateur, ce qui donne deux présentations différentes .
22.2.07
Retour aux sources
19.2.07
Marie Favan, la Tonkinoise
Pour ce mois de février de Courrier Sud, Le mensuel officiel de
Thi Sen Marie de Nam Dinh à Thio
par Corinne Nguyen
A 16 ans, Thi Sen Nguyen embarque – comme beaucoup de
Vietnamiens – à bord d’un bateau pour
dans l’espoir d’une vie meilleure. Ce voyage va changer sa vie.
A 83 ans, Marie Favan n’a rien oublié…
Fille de paysan, Thi Sen est née le 12 novembre 1923 à Lieu De, un village situé dans la province de Nam Dinh au nord du Vietnam. Elle porte le nom de jeune fille de sa mère, Nguyen,
car, à l’époque, les enfants pouvaient prendre le nom de leur mère s’ils le souhaitaient.
« Je ne suis pas allée à l’école. Très tôt j’ai dû aider mes parents
dans les rizières. Ils habitaient dans une modeste maison de terre et de paille. »
Quelques animaux de basse-cour – poules, canards, cochons – améliorent un peu le quotidien. Elle travaille dur, reproduisant les mêmes tâches épuisantes qui se répètent de génération en génération. La vie est rythmée par le cycle des saisons. Tout semble figé dans cette campagne du Nord du Vietnam, la pauvreté est le lot de tous. Et on l’accepte avec résignation.
La fugue…
Un événement va pourtant changer le cours des choses. Avec deux amies de son village, Thi Sen entend dire qu’on recrute des volontaires pour aller travailler en Nouvelle-Calédonie. Elles décident de partir tenter leur chance. « On n’avait rien, alors on a tenté le tout pour le tout. »
En cachette, Thi Sen accomplit les démarches administratives, mais comme elle n’a que 16 ans, trop jeune donc pour faire partie des engagés, elle ment sur son âge et prétend en avoir 21.
Un matin, Thi Sen annonce à ses parents qu’elle va rendre visite à une tante habitant non loin du village. Elle ne reviendra pas… et ne verra plus jamais son père ni sa mère. Le port d’embarcation se trouve à Haiphong. En attendant le bateau qui n’arrivera que trois mois plus tard, elle fait la connaissance de
des « travailleurs sous contrat ».
Ils se marient rapidement, mais seulement à l’église, étant catholiques tous les deux.
RETOUR AU PAYS
En 1960, Thi Sen fait partie d’une délégation de Vietnamiens de Nouvelle-Calédonie et des Nouvelles-Hébrides conviés par le gouvernement du Sud Vietnam.
Un séjour de trois semaines durant lesquelles elle visite la ville
de Saigon qu’elle ne connaît pas. Ce voyage lui apporte la joie de
revoir son pays, cependant elle regrette de ne pas pouvoir se rendre dans son village natal où son père vit encore. Le pays est divisé entre le Nord, aux mains des communistes et hermétiquement fermé à l’extérieur, et le Sud. Marie y retournera en 1995.
Mais si le Vietnam demeure pour toujours dans son coeur, sa vie, à n’en pas douter, est bien en Nouvelle-Calédonie.
12.2.07
Nouvel an chinois et vietnamien, Le Têt fait la grosse fête
Elles fêtent le nouvel an, celui de Chine et du Vietnam, qui tombe cette année le 18 février. L’Association bouddhique, l’Amicale vietnamienne et la Communauté chinoise de Nouvelle-Calédonie organisent chacune un repas avec spectacles, danses et spécialités traditionnelles, pour célébrer dignement l’entrée dans l’année du Cochon de feu.
Les soirées sont ouvertes à tous car, comme le souligne Sofia Lee, présidente de la Communauté chinoise de Nouvelle-Calédonie, « nous sommes déjà très métissés, alors métissons-nous encore davantage ».
Pour chaque soirée, les places sont limitées. Celle organisée par l’Amicale vietnamienne est déjà complète.- Dîner dansant de la Communauté chinoise de Nouvelle-Calédonie :
samedi 17 février au restaurant Canton Royal du Faubourg Blanchot. Tarifs : 6 000 francs, 5 500 francs (adhérents), 2 500 francs (enfants). Réservations avant le 12 février auprès de Marie-Rose Liou (magasin Polynésia Chinatown) au 26 47 82.- Dîner dansant de l’Association bouddhique : samedi 17 février dans la
salle Venezia du Nouvata Park hôtel. Tarif : environ 8 500 francs.
Renseignements et réservations au 27 28 12. Dimanche 18 février : prière au temple bouddhique de Tina.
Une petite précision tout de même, pour cette année du cochon le premier jour lunaire est officiellement le 17 février pour les vietnamiens et le 18 février pour les chinois.
Traditionnellement, les Chinois et les Vietnamiens utilisent le même calendrier soli-lunaire inventé par les Chinois il y a environ cinq mille ans.
L'un des principes fondamentaux de ce calendrier est le suivant : le Jour de l'An est le jour où a lieu la deuxième Nouvelle Lune après le solstice d'hiver. (La Nouvelle Lune est le moment fugace d'une minute où le Soleil, la Terre et la Lune se retrouvent sur un même plan méridien de la sphère céleste.)Or, en 2007, la deuxième Nouvelle Lune après le solstice d'hiver aura lieu le 17 février, à 16h30, au fuseau horaire 0 (ce fuseau était appelé jadis fuseau GMT). Cette Nouvelle Lune aura donc lieu le 17 février, à 23h30, au fuseau du Vietnam (fuseau 0+7) ; mais elle aura lieu le 18 février, à 00h30, au fuseau de la Chine (fuseau 0+8).
Comme conséquence inéluctable, le prochain Jour de l'An sera le samedi 17 février pour les Vietnamiens, et le dimanche 18 février pour les Chinois.
De tels décalages ne sont pas rares. Ils sont dus au fait que la Chine et le Vietnam appartiennent à deux fuseaux horaires différents : la différence d'une heure peut parfois entraîner la différence d'un jour !
Copié-collé sur voyageforum.com lui-même
copié-collé sur asiaflash.com (ou l'inverse)
5.2.07
Journée mémorable pour la communauté Vietnamienne du Vanuatu
via port vila presse
Le 6 janvier 2007, restera un jour historique pour tous les Vietnamiens chrétiens du Vanuatu ou qu'ils se trouvent d'ailleurs que ce soit au Vanuatu, en Nouvelle Calédonie, en Australie ou ailleurs, pour commémorer les 50 ans du Jubilé d'Or qui a pu rassembler plus de 200 personnes lors d'une cérémonie mémorable qui a eu lieu à l'Eglise Porte du Ciel à Port Vila.
A cette occasion se fut aussi l'inauguration du mémorial Vietnamien, pour laquelle, le comité organisateur a fait venir deux prètres Vietnamiens d'Australie, le père Binh et le père Sôn, un prètre Vietnamien de Nouvelle Calédonie, le père Quy, accompagné d'une délégation de l'Association Catholique Vietnamienne du territoire, regroupant d'anciens Vietnamiens du Vanuatu et amis, avec la présence de Monseigneur Michel Visi et de sa délégation; du premier conseiller politique du ministre de l'Intérieur, Joe Bomal Carlo et de son second, du maire de Port Vila, Paul Avock, de Ralph Regenvanu, ex directeur du musée de Vanuatu et de sa femme.
Selon le vice président de l'association catholique vietnamienne du Vanuatu Michel Do, ce mémorial n'aurait pu voir le jour sans la volonté et la détermination du président de l'A.C,V (Association Catholique Vietnamienne) M. Joseph Govant, et de certains membres influents de l'association. Et c'est sur son initiative que cela s'est fait.L'idée a germé il y a quelques années déjà, mais n'a pu voir le jour que maintenant.
" On ne peut pas écrire l'histoire en quelques lignes. Mais avec une rétrospective, on peut dire que les premiers Vietnamiens arrivés sous contrat aux Nouvelles Hébrides (aujourd'hui le Vanuatu) dans les années 1920, ils sont arrivés par vagues successives.
Certains sont repartis au Vietnam dans les années 1962, 1963."" Mais une partie de cette communauté est restée dans le pays. Aujourd'hui, on est à peine 200. A cette époque, ils ont tout quitté leurs pays, leurs familles leurs amis, tous très jeunes pour partir à l'aventure, et venir travailler ici sous contrat dans l'espoir de gagner un peu d'argent, et de retourner au pays à la fin de leur contrat," a expliqué M. Do.Si certains ont décidé de rester aux Nouvelles-Hébrides, d'autres sont repartis.
" Une chose est sûre. Beaucoup ont souffert, beaucoup ne reverront jamais leur pays, le Vietnam, ni leurs familles.De la première génération il ne reste que cinq survivants. Trois d'entre eux vivent actuellement à Nouméa, Nouvelle Calédonie et deux à Port Vila, Vanuatu," confirme t-il.
Il ajoute : " Pour tous ces gens là, qui ont marqué leur époque; par leur histoire, fait de larmes et de sueur, plus que de joie, pour leur espoir, leurs souffrances, leur solidarité, et surtout, leur Foi inébranlable en Dieu, on leur devait ce devoir de mémoire.
C'est fait ! " Pour terminer je voudrais remercier les représentants du gouvernement ainsi que le maire de Port Vila, le président de l'ACV, M. Joseph Govant, dont je voudrais mettre en évidence la respectabilité et son dévouement pour la communauté catholique Vietnamienne, (récemment décoré par le président de la république du Vanuatu en 2006), l'ancien président de l'A.C.V, et actuel vice président de l'A.C.V de N.C, M. Dominique Govan, l'Association Catholique Vietnamienne de N.C, le président de l'amicale vietnamienne du Vanuatu M. Cyril Mainguy, Monseigneur Visi, les membres du comité, M. Augustin Pheu, M. et Mme François Dinevan, M. Joseph Dovan, Bâ Hong, les trois prètres Vietnamiens venus spécialement de N.C et de l'Australie.
Notre remierciement à M. Jean-Pierre Guyvet et M. Pierre Guyan, Melle Sandrine Dinevan, Mme Valérie Tranne, qui ont animé et mis l'ambiance à cette soirée, sans oublier M. et Mme Lucien Dinne (Santo), M. et Mme Maurice Phùng, M. et Mme Tranne André, M. et Mme Fambart Marie-Thérèse, M. et Mme Esnault Hoa et Pierre et sa sœur, Mme Phat, M. et Mme Pascal Nhài, Mme Antoinette Thê, les enfants de M. et Mme Ngo Van Quân (Santo), M. et Mme Detronc, M. et Mme Govan Dominique, M. Jean Qunh, Mme Maria Traniène, M. Làc, M. et Mme Hanh Nhi, M. Tam et Long, la famille Daî et leurs enfants et Mme Hoàng Hâu, M. et Mme Tâm/Sót, M. et Mme Noel Dinevan, et leurs enfants Jean Luc, Jean François et Véronique, la famille Ngo Caroline, leurs enfants et petits enfants, M. et Mme Charlie Ah Pow, M. Gilbert Trinh, Mme Lÿ, Mme Guillon et leurs enfants, M. Paul James,Mme Sinh, les enfants et petits enfants de M. et Mme Ngo Van Trü, M.Haï,M. et Mme Trung, M. et Mme Pierre Do, Mme Thérèse Do, Mme Pheu Ngoc,Mme Dinh Van Tich, M. et Mme Eric Govant, famille Robert Tranier/Anne Lise, famille Hông et leurs enfants, et tous les bienfaiteurs anonymes, tous les membres, amis et invités qui ont participé de près ou de loin, pour que cette inauguration soit un succès, et on s'excuse pour ceux qu'on aurait pu oublier de mentionner.
Sans eux, la cérémonie n'aurait pu se faire.Up date
lien vers le site : la porte du ciel
4.2.07
Souvenir de souvenir
1.2.07
www.sankhauvietnam.com.vn
Marionnettes sur l'eau du Vietnam
Epilogue
Nhà hát Múa Rối Trung Ương vừa công bố thành công của
2 chuyến đi biểu diễn đối ngoại của Nhà hát tại Jakarta (Indonesia) và Nouvell
Calédonie (lãnh thổ hải ngoại của Pháp).
Đoàn Nhà hát Múa Rối
Trung Ương Việt Nam gồm 11 nghệ sĩ, đã tham gia biểu diễn tại Liên hoan múa rối
ASEAN lần thứ nhất, diễn ra tại thủ đô Jakarta (Indonesia) từ ngày 28/11 đến
5/12, theo lời mời của Hiệp hội Múa rối Indonesia. Tại đây, đoàn nghệ thuật múa
rối Việt Nam đã tham gia 2 hoạt động chính gồm: Hội thảo giới thiệu nghệ thuật
Rối nước Việt Nam và các nước ASEAN. Ký tuyên bố thành lập Hiệp hội Múa rối
ASEAN và biểu diễn chào mừng.
Ông Vương Duy Biên, Giám đốc Nhà hát Múa rối
Trung ương cho biết, đây là một hoạt động đối ngoại nhằm tăng cường các hoạt
động múa rối như tổ chức các cuộc triển lãm, liên hoan, trao đổi các đoàn nghệ
thuật múa rối để quảng bá và duy trì loại hình nghệ thuật độc đáo này trong khu
vực. Và đoàn nghệ thuật múa rối Việt Nam đã được bạn bè quốc tế đánh giá rất
cao.
Về chuyến đi thứ 2 đến Nouvell Calédonie (lãnh thổ hải ngoại của Pháp),
cũng vào vừa cuối tháng 12 vừa qua. Đoàn nghệ thuật múa rối Việt Nam đã biểu
diễn cho bà con Việt Kiều Pháp và được bà con Việt Kiều đón tiếp nồng nhiệt. Các
nghệ sỹ đã có 5 buổi biểu diễn, với hàng nghìn khán giả tới xem. Được biết, vùng
Nouvell Calédonie của Pháp có khoảng 4000 người Việt Nam sinh sống tại đây trên
tổng số 200.000 dân.
Đây là hai hoạt động đối ngoại cuối cùng trong năm 2006
của Nhà hát Múa rối Trung Ương.
Theo HNMĐT
Le lien ici